Nous nous retrouvons seulement une centaine à participer à une marche "blanche" à la mémoire de Célestine que j'avais déjà évoquée dans mon blog (c'est ICI) , morte sous les coups de son "compagnon" (Peut-on parler de compagnon..). Départ de la Préfecture vers la rue Montoise, lieu de son dernier domicile où nous déposerons une gerbe. Retour à la Mairie où nous serons reçus dans la salle du Conseil Municipal où Chantal rappelera l'engagement de notre municipalité dans l'aménagement d'une maison pour femmes victimes de violence. Son ouverture est conditionnée à la participation financière du Conseil général à la création d'un emploi.
Le porte-parole de la communauté camerounaise prendra la parole pour exprimer son émotion après la disparition de Célestine. Émotion partagée par tous les participants à cette marche dont certains ont été surpris par une tentative de récupération politique. Il est vrai que ce n'était pas le jour...
Tout juste le temps de reprendre le vélo pour partager quelques moments avec les enseignants et les parents d'élèves de l'école Gazonfier. Le dynamisme de tous contribue à la réussite de cette fête de l'école. Je préfère d'ailleurs ce terme "fête de l'école" à celui de kermesse dont l'origine évoque une fête paroissiale (néerlandais kerkmisse = "fête paroissiale"). Je suis étonné du nombre de participants et heureux d'apprendre aux parents que la Mairie allait prendre en charge l'aménagement de toilettes filles dans la cantine. Fête vraiment sympa...
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