La vie d'élu réserve parfois quelques vicissitudes : entre autres celle de devoir choisir entre quatre réunions qui se déroulent en même temps. C'était mon cas hier soir : réunion des Présidents de Conseils de Quartiers pour envisager la future "fête du propre", conseil d'école de la Maternelle des Maillets, Inauguration d'Effervescience à la maison Jean Moulin et le parrainage de deux enfants sans papiers ! Toutes ont leur importance mais il faut choisir...
Mais hier soir, le choix était évident. Dans le cadre de cette atmosphère malsaine du débat sur l'identité nationale voulu par Éric Besson pour mieux conserver les voix de l'extrême-droite à la veille des élections régionales, il était important de réaffirmer que notre République se doit de rester la terre d'accueil qu'elle a toujours été.
J'ai donc accepté de parrainer, avec un représentant de la Ligue des Droits de l'Homme et la Directrice de l'école primaire qui les accueille, deux enfants kosovars : Giani, 4 ans et Rahimi, 3 ans.
La minorité Rom du Kosovo se retrouve aujourd'hui être la victime d'une rivalité qui oppose albanais et serbes. Plus de 90% d’entre eux ont été contraints à l’exil. Ceux qui sont restés vivent dans des camps ou dans des enclaves où ils sont prisonniers.
Il est donc de notre devoir aujourd'hui de les protéger et c'était le sens de ma présence à ce parrainage hier soir.
Mais hier soir, le choix était évident. Dans le cadre de cette atmosphère malsaine du débat sur l'identité nationale voulu par Éric Besson pour mieux conserver les voix de l'extrême-droite à la veille des élections régionales, il était important de réaffirmer que notre République se doit de rester la terre d'accueil qu'elle a toujours été.
J'ai donc accepté de parrainer, avec un représentant de la Ligue des Droits de l'Homme et la Directrice de l'école primaire qui les accueille, deux enfants kosovars : Giani, 4 ans et Rahimi, 3 ans.
La minorité Rom du Kosovo se retrouve aujourd'hui être la victime d'une rivalité qui oppose albanais et serbes. Plus de 90% d’entre eux ont été contraints à l’exil. Ceux qui sont restés vivent dans des camps ou dans des enclaves où ils sont prisonniers.
Il est donc de notre devoir aujourd'hui de les protéger et c'était le sens de ma présence à ce parrainage hier soir.
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