mercredi 12 mai 2010

Le nouveau quartier du Ribay



Quatrième visite de quartier ce lundi : le Ribay. Je suis assez surpris du développement de ce quartier que je connaissais peu. Très agréable, très vert avec peu de problèmes.
• Le devenir de la rue de Beaugé. Cette rue, qui était une petite route d'accès à la commune de Rouillon, est devenue un axe important de la ville puisqu'elle conduit à ce nouveau quartier de Ribay et la ZAC de la route Olivier Messiaen. Son recalibrage viendra lors de la mise en place du nouvel éco-quartier.
• La traversée de la voie d'accès venant de l'avenue Olivier Messiaen vers la rocade est un réel problème pour les piétons et les cyclistes. Les automobiles et surtout, les camions roulent assez vite... même si lors de notre visite, nous les voyons ralentir fortement. Est-ce la solution ? Je suggère la mise en place d'une reproduction en résine de notre Maire sur le bord de la route... Plus sérieusement, je retiens la remarque d'un riverain qui signale que l'endroit est tellement dangereux que piétons et vélos font très attention en traversant et que l'endroit n'est pas « accidentogène ».
• Le devenir du « château » en haut de la rue Beaugé. Cette maison bourgeoise est sur un terrain racheté par un promoteur qui tarde à la détruire pour y lancer son opération immobilière comme dans beaucoup d'endroits de la ville. Elle est devenue terrain de jeu pour certains enfants du quartier. Nous nous engageons à demander au promoteur de sécuriser l'endroit.
Fin de balade au restaurant turc le Ilkay où nous sommes accueillis comme des rois. Le vin et le rosé turc accompagnés de kebabs vont conclure la soirée et bien détendre l'atmosphère. Une solution pour améliorer la démocratie participative ?

Hier mardi, je participe à l'initiative de la municipalité pour le 8 mai : fleurir avec les enfants des écoles toutes les plaques de rues qui portent le nom de personnalités qui ont eu un rôle dans la Résistance ou qui sont mortes en déportation. Je me retrouve rue Emmanuel Maire, rue portant le nom d'un jeune poète mort en déportation à l'âge de 23 ans. Moment émouvant où deux jeunes enfants et Daniel Étoc, ancien enseignant du collège Roger Vercel, vont lire quelques uns de ses poèmes.

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