Le travail de représentation de l'élu fait partie de ses différentes missions. Et à ce titre, je fais partie du Conseil d'Administration du Lycée Bellevue. Rigolo de revenir dans ce lycée dont la réputation dans les années 60 était d'y interdire les garçons. J'ai dû y entrer la première fois en 1965 pour le bal officiel dans la salle des piliers. Je me souviens qu'il fallait être propre sur soi car la plupart des jeunes filles étaient en robe longue... O tempora O mores !
Tout le monde s'extasie maintenant (et moi le premier) sur ce magnifique lycée dont l'internat est situé dans cette superbe Abbaye Saint Vincent. De plus, ce lycée est un des rares lycées de France à posséder sa propre piscine. Mais...
Car il y a un mais. Ce soir, nous votions le compte financier qui entérine toutes les recettes et les dépenses pour l'année 2008. Et là, ça déchante... on s'aperçoit que cet établissement dépense près du tiers de son budget dans les fluides ! Et entre autres 100 000 euros pour son chauffage : le fuel pour l'établissement, le gaz pour la piscine. À cette époque, on n'isolait pas beaucoup et les normes n'étaient pas aux 50 kwh/m² !
De plus, les chaudières sont au bout du rouleau. Pourquoi ne pas envisager une co-génération ? Ce fut le sens d'une de mes questions. Cette co-génération a été choisie avec bonheur au Lycée Touchard et à l'Université. Alors pourquoi pas au Lycée Bellevue ?
Tout le monde s'extasie maintenant (et moi le premier) sur ce magnifique lycée dont l'internat est situé dans cette superbe Abbaye Saint Vincent. De plus, ce lycée est un des rares lycées de France à posséder sa propre piscine. Mais...
Car il y a un mais. Ce soir, nous votions le compte financier qui entérine toutes les recettes et les dépenses pour l'année 2008. Et là, ça déchante... on s'aperçoit que cet établissement dépense près du tiers de son budget dans les fluides ! Et entre autres 100 000 euros pour son chauffage : le fuel pour l'établissement, le gaz pour la piscine. À cette époque, on n'isolait pas beaucoup et les normes n'étaient pas aux 50 kwh/m² !
De plus, les chaudières sont au bout du rouleau. Pourquoi ne pas envisager une co-génération ? Ce fut le sens d'une de mes questions. Cette co-génération a été choisie avec bonheur au Lycée Touchard et à l'Université. Alors pourquoi pas au Lycée Bellevue ?
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