Lors de notre dernière réunion Europe-Écologie au Mans sur la mobilité, un représentant de Cyclamaine s'étonnait à juste titre que le gouvernement avait fait une fois de plus un choix en faveur de l'automobile au détriment du vélo en accordant cette prime à la casse de 1000 €.
Et rien pour acheter un vélo neuf.
La semaine dernière, le ministre de l'industrie, Christian Estrosi a annoncé une prime de 400 € pour l'achat d'un vélo électrique. Bonne mesure mais qui n'a rien d originale puisque la Mairie de Paris avait pris la même depuis la rentrée.
Tout le monde, enfin ceux qui m'ont vu dessus, sait que je suis un inconditionnel de ce type de transport : mes vieilles jambes et mon poids ne me permettent plus de monter les quelques pentes sévères de notre ville (Tunnel, Prémartine, Université, etc.) et la présence d'une assistance électrique qui vous donne 40% de puissance en plus est bien appréciable.
Bien sûr, quelques esprits chagrins parleront de mon "vélo nucléaire". Cela a le mérite de poser le problème de la mobilité "électrique", problème que l'on peut résoudre par la compensation en énergies renouvelables. Mais ce n'est pas le sujet d'aujourd'hui.
Pourquoi donc participer au financement du vélo électrique et pas un sou pour quelqu'un qui achèterait un vélo ?
Pour les prochaines élections régionales, Nicolas Sarkozy et son équipe ont décidé de venir chasser sur les terres de l'écologie. Mais désolé, ça ne s'improvise pas...
Alors encore un petit effort pour encourager la politique du vélo dans nos villes...
Et rien pour acheter un vélo neuf.
La semaine dernière, le ministre de l'industrie, Christian Estrosi a annoncé une prime de 400 € pour l'achat d'un vélo électrique. Bonne mesure mais qui n'a rien d originale puisque la Mairie de Paris avait pris la même depuis la rentrée.
Tout le monde, enfin ceux qui m'ont vu dessus, sait que je suis un inconditionnel de ce type de transport : mes vieilles jambes et mon poids ne me permettent plus de monter les quelques pentes sévères de notre ville (Tunnel, Prémartine, Université, etc.) et la présence d'une assistance électrique qui vous donne 40% de puissance en plus est bien appréciable.
Bien sûr, quelques esprits chagrins parleront de mon "vélo nucléaire". Cela a le mérite de poser le problème de la mobilité "électrique", problème que l'on peut résoudre par la compensation en énergies renouvelables. Mais ce n'est pas le sujet d'aujourd'hui.
Pourquoi donc participer au financement du vélo électrique et pas un sou pour quelqu'un qui achèterait un vélo ?
Pour les prochaines élections régionales, Nicolas Sarkozy et son équipe ont décidé de venir chasser sur les terres de l'écologie. Mais désolé, ça ne s'improvise pas...
Alors encore un petit effort pour encourager la politique du vélo dans nos villes...
Une prime de 400 euros pour un vélo électrique et rien pour un vélo classique... C'est tout simplement scandaleux ! C'est toujours le même choix qui est fait, le choix de la prime indirecte aux industriels ( Boloré etc...), à ceux qui, en plus, exploitent les petits asiatiques . Regardez bien où sont fabriqués vos vélos électriques. Même les vélos d'une grande surface du sport, dont je ne citerais pas le nom, sont produits en europe (Espagne).
RépondreSupprimerAlors pas d'emballement et attention aux effets d'annonce.
Je ne dis pas autre chose : accorder une prime de 400 € pour l'achat d'un vélo seulement s'il est électrique montre que ce gouvernement, en matière de mobilité, n'a rien compris et que cette mesure est un effet d'annonce.
RépondreSupprimerPour l'achat de mon vélo électrique, j'ai fait confiance il ya 4 ans à une entreprise française proche d'Angoulême : ISD (http://www.velo-electrique.com/Pages/accueil.htm).
Je sais, je sais...
Restent bien sûr ou les dérailleurs Shimano (qui équipent 90 % des vélos) ou la batterie cooréenne Kokam (Ion-Polymère)...